VINCENT ROCA
 
29 mars : et pendant ce temps-là, Kim-Il-joue à la guerre...


28 mars : ouf !


26 mars : queue de chat
alias Acalypha hispida
voisine de confinement également...




25 mars : Bon, les bananes, maintenant faut arrêter !


24 mars : le verbe du jour


23 mars : Bac 2020, sujet de philosophie

Dans CORONAVIRUS, enlevez le CON et le RAVI entre lesquels chacun d'entre nous se situe grosso modo, il reste ORUS, qui est le dieu du ciel... commentez.

22 mars : présidents...



21 mars : la nature, elle, vit sa vie.
Voisines de confinement tout juste sorties du berceau (le baba figue) Certaines y sont encore...


20 mars : contrepèteries...


19 mars : Bachelet n'aura pas connu ça !

Au nord, c'était le coronavirus
La terre, le coronavirus
Le ciel, le coronavirus
Les hommes, des confinés au fond






Habitations de confinés


18 mars : poème confiné dans une rime en taine

La Réunion en quarantaine

Eh bien mon capitaine
Je suis en quarantaine
J’ai bien la cinquantaine
Je sais plus la vingtaine
La vie est incertaine
Je bois à la fontaine
Des consignes lointaines
Les métropolitaines
(Pas les napolitaines)
Face au croquemitaine
J’agite mes antennes
Deux mains dans leurs mitaines
Un vieux masque en futaine
Je suis en quarantaine
Mais par fierté hautaine
Je maintiens le gluten

17 mars : Confinement

Le mot « confiné » vient du latin « confinium » : frontière. En l’occurrence, les frontières de mon espace actuel sont : des murs, des portes, des fenêtres, des plafonds et des planchers… Pour franchir ces frontières, il me faut un laisser-passer que je me fabrique moi-même, que je signe et que je glisse dans ma poche, à mes risques, mon péril et le péril de mes contemporains. Je me laisse passer.
Le coronavirus, lui, n’est pas confiné. Il n’a pas de frontière, pas de laisser-passer. Il va où il veut, quand il veut. Il n’a besoin que de couillons qui jouent, malgré eux, ou, pour certains, à cause d’eux, les petites mains, les petits crachats. Et quelque chose me dit qu'en chacun d'entre nous il y a ce genre de couillon qui sommeille... Le coronavirus est tout petit mais très efficace. Il s’attaque aux voies respiratoires : il empêche les gens de respirer, ce qui lui permet d’agrandir son terrain de jeu.

17 mars : confinement
Il y a des confinés plus finés que d'autres...


16 mars 





Tu y crois encore au navire russe ?